Le Mal
Le mal partout
Autour de nous
Autour de vous
Il nous rend fous
Il est en nous
Il te ronge,
Il bouffe tes songes
Il te mensonge
Et fait de toi son éponge
Une fois annéanti
Tu reste ébahi
Devant le fait accompli
Par celui que tu as servi
Ne peux-tu résister
Par quelques efforts non-vains
A cet être tant méprisé
Qu'on appelle le Malin ?
La vie est dure mais si elle ne l'était pas, ce ne serait pas
la vie...
Mon Rêve
Mon rêve, tu est si belle
Mais à la fois si frêle
Que lorsque je t'entrevois
Un frisson me parcours de haut en bas
Mais je te sens trop loin
Alors que je t'aime à un point
Que tu ne peux soupçonner
Je ne sais même s'il peut exister
Je désire pourtant t'aborder
Mais je ne sais par où commencer,
Car pendant que je demeure dans le noir
D'autres parviennent à décrocher le baiser de la gloire.
Et c'est ainsi que sans bruit
Me voilà déjà parti,
Sans jamais n'avoir osé
Te demander de m'aimer.
L'heure est venue de te quitter
Car je dois maintenant me réveiller...
Adieu mon rêve...
J'écris cette lettre à celle que j'aime.
Elle ne comporte ni date, ni heure, ni question, ni question futile.
Elle contient tout simplement mon amour pour vous.
Vous ne me connaissez pas mais lorsque je vous croise dans les couloirs,
ou dans la rue, mon coeur s'enflamme et
mes yeux brûlent de désir pour vous. Je ne sais si vous
pouvez me comprendre mais, le nuits , lorsque je revois
votre image sur l'écran de mes pensées, je ressens comme
un vide, un grand espace vide dans mon coeur. Je
donnerai beaucoup pour que vous sachiez à quel point je vous
aime ; mais je ne sais comment vous le dire.
Croyez-vous qu'un tel sentiment puisse naître dans un être
sans qu'il ne soit avoué ? Vos yeux me brûlent lorsque
par hasard votre regard se pose sur moi. Pour terminer, je voudrais
vous dire que vous n'êtes pas obligée de croire
en cette déclaration, mais sachez que mes sentiments pour vous
sont sincères...J'espère vous recroiser dans les couloirs
et je souhaite que vous posiez votre regard sur moi, juste une fois
et peut-être un jour, vous emparer de moi. Je me
donnerai à vous sans détour.
Nuits Fauves
Tu as hanté mes nuits fauves
Celles où il fait chaud, où tout est mauve.
Tu étais là, telle un améthyste,
Au milieu de sombres pierres tristes.
Je m'approchais lentement de toi,
Pour ne pas te surprndre, à petits pas.
Tu es si belle qu'en effet
Le miroir ne renvoyait pas ton reflet.
Je t'observais encore un peu,
Hésitais un tant soit peu,
Et finalement me décidais
A aller me déclarer.
Je t'abordais, doux et sincère,
Tu me fixais de tes yeux bleux-verts.
Je débalais mon amour, un genou à terre
Et tes magnifiques yeux restaient grand ouverts.
Pas le temps d'attendre ta réponse
Que déjà, je me réveille et fonce.
Mais dans la réalité, jamais
Je n'oserai te parler.
Je souffre en effet
D'une timidité trop prononcée.
Vision Amoureuse
Mes yeux dans tes yeux
Et nos coeurs amoureux,
Feront de nous deux
Deux amants des plus fougueux.
Et comme aujourd'hui,
A jamais enlassés,
Même jusque dans la nuit,
Nous ne serons jamais séparés.
Quand mon regard
Dans tes yeux s'égare,
Je me sens alors comme
Le plus heureux des hommes.
Lorsque je revois ainsi
Tes cheveux flottants au vent
Devant cet éternel infini,
Je te désire encore comme avant.
L'amour commence par une amitié, continue par un baiser et fini
par une larme versée.
L'amour c'est comme un feu de bois :
C'est 100 % naturel, ça chauffe très fort et si on l'entretient
bien, il peut durer très très longtemps.
Une jolie fille, c'est comme une pierre précieuse :
Tu dépense sans compter pour elle,
Dès qu'elle est à toi, tu la range dans ton plus bel
écrin,
Tu ne veux plus t'en séparer mais tu la fait admirer à
tout le monde.
Re
Je dois rester auprès de toi, bébé
Rester auprès de toi maintenant.
Ne plus jamais te quitter,
Ne plus faire comme avant.
Et si l'amour pouvait
Ne jamais nous séparer
Pour que nous puissions finir
Par nous unir.
Tout ce que je fais,
C'est pour toi que je le fais
Car maintenant,
C'est vers toi que vont mes sentiments.
Déclaration
Ce ne serait pas compliqué
D'un jour t'avouer
Ce que j'ai pu t'aimer
Pendant ces lonques années.
J'aurais voulu trouver les mots
Pour te dire que ta beauté est telle
Qu'elle me semble à jamais éternelle
Mais c'était encore trop tôt.
C'est pourquoi je préfère
Malgré cette rage
Continuer à me taire
Et coucher mon amour sur ces pages.
Départ
Comment aurais-je pu imaginr
Qu'un jour tu t'en irais ?
Comme ça, sans même en parler,
Ne serait-ce que pour m'expliquer.
Et si seulement tu pouvais me revenir
Sans n'avoir jamais pensé à t'enfuir.
Nous pourrions nous réjouir
Et à jamais se chérir.
Espoir
Je t'attends
Demain, n'importe quand.
Je t'attends comme personne,
Comme quelqu'un qui dors face au téléphone,
En espérant qu'enfin il sonne.
Mais pour l'instant,
Je t'attends,
En attendant qu'enfin on te raisonne
En attendant qu'enfin il sonne
Et que je ne sois plus "personne".
La vie, c'est comme un bout de ficelle :
Si tu joue ttrop avec, tu l'emmelles et fais des noeuds partout et
elle finit par casser.
Mais surtout, on peut toujours lui trouver une utilité, sauf
si on la range au placard et qu'on l'oublie.
En grimpant l'échelle, ne soit méchant avec personne ;
parce qu'en redescendant, ce sont les même
que tu vas croiser. Et j'ajouterais même : ils seront fachés
!
"La jeunesse sait ce qu'elle ne veut pas avant de savoir ce qu'elle
veut" (Jean Cocteau)
"Alors s'assieds sur un monde incertain une jeunesse soucieuse" (Alfred
de Musset)
"Que n'obtient-on pas de soi par amour ?" (André Gide)